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| | Belle French [Inactif]
Auteur Messages : 68 Date d'inscription : 06/10/2013 Age : 31 Localisation : Somewhere between Neverland, Wonderland and the Enchanted Forest | Storybrooke University Dim 20 Oct - 10:16 | Donc Gina et moi on a eu l'idée de créer ce topic pour que tous ceux qui avaient écrit des fanfics puissent les poster, et je suis la première à le faire Donc j'espère que vous aimerez, y'a déjà 4 chapitres d'avance pour ceux qui voudront la suite, et puis voilà :3 Au programme, Rumbelle, SwanQueen, Snowing, Red(?) (ce sera à toi de décider ma puce ) et sûrement d'autres :3 Storybrooke University Chapter 1 - Oh non ! Non non non ! Belle sortit de son lit précipitamment, attrapant au vol les vêtements qu’elle avait mis de côté. Elle les enfila à la va-vite, et prit son sac de cours, avant de descendre les escaliers quatre à quatre. Elle fonça vers la cuisine, récupérant ses chaussures au passage, et adressa un rapide bonjour à la jeune femme brune qui buvait un chocolat. - Tu n’as pas entendu ton réveil ? - Non, et c’est la cinquième fois ce mois-ci. Or, Mr Gold déteste qu’on soit en retard… - Ça c’est certain… Tiens, prends ça pour la route, répondit son amie en lui tendant deux pancakes enveloppés dans une jolie serviette. - Marie, qu’est-ce que je ferais sans toi ? La jeune femme aux cheveux bruns courts eut un sourire amusé en regardant sa colocataire se battre avec le lacet de ses bottines. - Tu t’évanouirais pendant ton cours et Mr Gold serait obligé de te porter jusqu’à l’infirmerie comme une princesse. Un ange passa. - Tu es certaine de vouloir ces pancakes ? - Marie ! Son amie eut un rire amusé, buvant une autre gorgée de chocolat, y rajoutant un peu de cannelle. Belle jeta un regard sur le canapé en haussant un sourcil, remarquant les vêtements jetés sur le dossier. - Emma est rentrée à quelle heure ? - Trois heures, je crois. J’ai entendu le bruit de la porte, et pas mal de bruits de chute. Je crois qu’elle a embarqué le ficus pour dormir avec. Belle eut un léger rire, attrapa son gilet et déposa un baiser sur la joue de Marie-Margaret. - Espérons qu’elle ne lui ait pas encore arraché la moitié de ses feuilles. On se voit ce soir, je passerai prendre de l’italien ! - Pense à prendre une part en plus, au cas où Ruby serait rentrée ! - Promis ! Belle referma la porte et, enroulant un peu plus son écharpe autour du cou, se dirigea d’un pas rapide vers l’université. La jeune femme en profita pour admirer une énième fois le campus. L’université de Storybrooke était relativement grande, pour une aussi petite ville. Il y avait plusieurs départements, le tout étant géré d’une main de fer par la directrice de l’établissement, Mme Mills. Une femme assez froide et distante, de ce que Belle avait pu remarquer les rares fois où elle l’avait vu. Emma devait la connaître un peu mieux, puisqu’elle finissait systématiquement dans son bureau au moins une fois toutes les deux semaines. La jeune femme eut un sourire en pensant à ses colocataires. Marie-Margaret, ou Marie était en 4ème année de médecine pour devenir pédiatre. Elle était la plus douce, la plus compréhensive et la plus adorable des amies que Belle ait jamais eu. Quand elle était arrivée pour s’installer, Marie lui avait offert un chocolat cannelle – boisson dont toutes les habitantes de l’appartement 221B étaient devenues adeptes- et lui avait proposé de l’aider à déballer ses affaires. Tout ça avec la générosité la plus naturelle du monde. Néanmoins, si elle était la plupart du temps douce et tempérée, elle luttait contre toutes les formes d’injustice, et offrait son aide à tous ceux qui en avaient besoin. Si elle ne l’avait jamais avoué, Belle était certaine que son amie avait un faible pour David, le « prince » du campus, héritier d’une famille qui semblait posséder la moitié du Maine, courtois, beau, sportif, mais malheureusement fiancé. Ce qui expliquait que la jeune brune de 23 ans tout comme elle, incorrigible romantique, n’ait aucun petit ami. Emma était en 3ème année de langues appliquées. Du moins quand elle allait en cours. La jeune blonde de 22 ans avait en effet tendance à passer plus de temps à chercher les ennuis et à finir au poste qu’à réviser ses cours pour ses partiels. Ce qui expliquait le fait que ses amies aient le plus souvent le droit à un coup de fil de la part de Graham, le sheriff de la ville, qui était presque devenu un ami , leur demandant de passer prendre Emma au poste avant qu’il ne lui attribue une cellule avec son nom dessus. Ou le fait qu’elle était sans arrêt convoqué au bureau de la directrice. Il fallait avouer que le caractère trempé de la jeune femme y était pour quelque chose. Mais elle était d’une loyauté sans faille, et quand elle s’engageait dans quelque chose, elle y allait jusqu’au bout. Elle répondait toujours présente quand quelqu’un avait un souci, et était la plus dévouée des sœurs pour son petit frère Henry. Un adorable petit garçon d’une rare intelligence à l’imagination débordante. La troisième de ses colocataires et amies, Ruby, une brune pétillante de 22 ans elle aussi, avait choisi d’interrompre ses études de littérature pour accepter un poste de journaliste au Daily Mirror, le journal de Storybrooke. Elle avait une assez forte tendance à s’habiller d’une manière assez voyante. Ruby n'avait jamais froid aux yeux, ni pas sa langue dans sa poche, et régalait ses amies de tous les potins de la ville. Elle travaillait donc en étroite collaboration avec le bureau du sheriff, ce qui était visiblement loin de lui déplaire. Intrépide et enthousiaste, c’était elle qui remontait toujours le moral des troupes, et les emmenait dans des soirées plus festives les une que les autres. Et enfin, elle. En 4ème année d’histoire et de littérature classique, spécialisation en histoire du patrimoine littéraire. Constamment plongée dans ses livres, il lui arrivait de se demander pourquoi ses trois colocataires l’avaient choisie pour faire partie de leur bande. Elle était celle à qui l’on demandait des informations, sachant qu’elle aurait nécessairement lu la réponse dans un de ses ouvrages. Ce qui faisait d’elle, elle pouvait l’avouer, une redoutable adversaire au Trival Pursuit. Rêveuse, elle était la seule en couple. Ce qui ne la rendait pas forcément plus heureuse. Gaston n’était pas exactement l’idée qu’elle se faisait de l’homme de sa vie. Mais à force, elle avait fini par céder à ses demandes plus qu’insistantes, même si Emma lui avait proposé de le remettre à sa place une fois pour toute. Non, son prince charmant serait plus mature ; il posséderait une intelligence redoutable, un charisme fou, un sens de la répartie acéré, des préoccupations intellectuelles, un accent écossais à la faire fondre, un… Belle se morigéna mentalement. Comme à son habitude, elle s’était laissé emporter par son imagination trop fertile. Ca lui apprendrait à lire des romans de Jane Austen avant de dormir. Elle pénétra dans l’amphithéâtre, s’installant à sa place habituelle, déballant ses affaires, attendant patiemment que son professeur arrive et débute son cours. Et il faudrait que cette fois encore, elle essaye de se concentrer sur le contenu du cours que sur l’homme qui le présentait. Et quel homme.. Le vibrement de son portable interrompit le fil de ses pensées, et un soupir amusé lui échappa en lisant le texto que Marie venait de lui envoyer. Emma a encore eu une altercation avec le grille-pain. Pourrais-tu en acheter un après tes cours ? Pense à manger tes pancakes. Bisous et bonne journée PS : Je crois qu’il nous faudra racheter un autre ficus. Une journée tout à fait banale s’annonçait, en effet. |
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| | | Belle French [Inactif]
Auteur Messages : 68 Date d'inscription : 06/10/2013 Age : 31 Localisation : Somewhere between Neverland, Wonderland and the Enchanted Forest | Storybrooke University Lun 21 Oct - 9:13 | Bon, exceptionnellement (parce que je suis adorable n'est-ce pas? xD) je poste le deuxième chapitre, vu qu'après vous n'aurez rien avant au moins 1 semaine à cause des vacances :3 So, enjoy Storybrooke University Chapitre 2 Au bout d’une heure de cours, Belle se rendit que les seules choses qu’elle avait noté sur sa copie était le titre du cours, l’œuvre de référence et… Environ 36 fois le nom de son professeur. Ce qui de toute évidence lui permettrait d’avoir ses partiels avec un A. Elle soupira. Ce n’était pas comme si elle était juste éprise de son professeur comme une adolescente de son prof de maths super mignon qui venait juste d’avoir son diplôme. Non. La réalité, c’était qu’elle était tellement obsédée par l’idée que Mr Gold la touche que quand Gaston l’embrassait, elle imaginait que c’était ses lèvres à lui sur les siennes. Ni qu’elle avait tendance à imaginer son professeur à la place de son petit copain quand il faisait l’amour pour atteindre l’orgasme. Ou qu’à chaque fois qu’elle voyait un film romantique avec ses amies, elle avait l’impression que le héros avait toujours un léger boitement et un accent écossais. Ses amies se moquaient souvent d’elle à ce sujet, et à chaque fois que son petit ami venait chez elles, elle avait le droit à des regards de Marie-Margaret, des rires étouffés de Ruby et des sous-entendus de moins en moins subtils d’Emma. Heureusement Gaston était loin d’être une lumière, et croyait tout simplement que ses colocataires l’adoraient. Grand bien lui fasse. Elle tenta d’un peu mieux suivre la deuxième heure, esquissant un sourire quand son professeur favori remit à sa place un étudiant qui avait voulu faire le malin en arguant qu’Anne Boleyn avait quand même dû être une « sacrée chaudasse » en lui demandant de lui rendre un dossier complet de 16 pages sur la conduite libertine en Angleterre au XVI ème siècle. Autant dire que le pauvre garçon allait pleurer en s’arrachant les cheveux pendant longtemps. A la fin du cours, elle rangea ses affaires et se dirigea vers la sortie quand une voix grave et terriblement chaude la stoppa, provoquant des frissons jusqu’à la racine de ses cheveux. - Mlle French, je crois que vous avez fait tomber ceci. Son professeur d’histoire des civilisations et accessoirement enseignant référent se tenait juste derrière elle, un livre à la main, avec un léger sourire amusé. Bon dieu ce sourire devrait être interdit pour protéger l’intégrité morale de son esprit. Elle mit quelques secondes à se reprendre et posa ses yeux sur l’ouvrage, rougissant furieusement en apercevant le titre évocateur, tout comme l’image aussi explicite. Elle allait tuer Emma et Ruby, lentement, avec un économe. - C’est simplement une plaisanterie de mes amies, à l’occasion d’une fête stupide, je… Je ne sais pas comment il a pu se retrouver dans mon sac, répondit-elle rapidement e fourrant « Comment le mettre à vos pieds » dans son sac, se jurant de le brûler à la première occasion. Après avoir lu le chapitre sur les hommes plus agés. - Je n’en doute pas. Encore ce sourire. Est-ce qu’il l’utilisait avec d’autres étudiantes ? Parce qu’il fallait qu’elle sache si elle était la seule à se sentir aussi fébrile et fiévreuse rien qu’en voyant la courbe de sa bouche s’accentuer de la sorte. - J’attends votre compte-rendu sur la religion sous Elizabeth 1er avec impatience, Mlle French. Tachez de ne pas me décevoir. - Oui professeur… Bonne journée. - Bonne journée, Mlle French. Elle se retrouva sur le campus sans même comprendre comment elle y était arrivée. Bon sang, s’il savait à quel point elle était loin de vouloir le décevoir… Au contraire… *o*o*o* POUR UN FLIRT AVEC TOIIIIII ! Vu le volume de la musique, Belle supposa que tout le monde était là. Elle ouvrit la porte et déposa ses sacs, ayant à peine le temps d’ouvrir la bouche qu’une tornade aux cheveux noirs se précipitait sur elle pour la trainer jusqu’au salon, tandis qu’Emma lui jetait sa brosse à cheveux qu’elle rattrapa de justesse. - Allez Belle, tu connais la chanson ! Je pourrais tout quitter quitte à faire démodé pour un flirt avec toi ! La jeune brune soupira avant de laisser un sourire s’épanouir sur ses lèvres, rejoignant ses amies dans leurs prouesses musicales. - Je pourrais me damner, pour un seul baiser volé, pour un flirt avec toi. Pouuuuuuuuuuur un petit touuuuuur… Leurs performances vocales ne semblèrent pas être particulièrement appréciées de leurs voisins, qui se mirent à taper contre le mur. Elles éclatèrent de rire, avant de s’étaler sur le canapé. - Ca fait trop du bien ! Belle adressa un sourire à Ruby. La jeune femme était décidemment bien trop énergique en comparaison de sa pauvre personne. Elle avait l’impression de s’être vidée de toute son énergie. - Est-ce que c’est bien des pates bolognaises de chez Alfredo que je sens ? S’exclama la grande brune, un large sourire carnassier aux lèvres. - Oui, mais je ne te les donne que si tu arrêtes de me regarder comme si j’étais une friandise enrobée de chocolat devant un diabétique. Marie-Margaret éclata de rire devant la mine déconfite de Ruby, se relevant pour aller chercher le sachet, le tendant à Belle. - Tu m’as pris mes carbo spéciales ? - Oui Emma, sans lardons , avec plein de sauce. - Youpi ! La jeune blonde attrapa la barquette et commença à manger avec l’avidité de quelqu’un qui n’aurait pas mangé depuis trois jours, arrachant un sourire à Marie, tandis que Belle tendait sa barquette à Ruby qui déposa un baiser sur sa joue pour la remercier. - Et tes carbonara, Marie, finit-elle en attrapant sa propre portion de tagliatelles aux champignons. - Merci Belle, répondit son amie en souriant, avant de froncer les sourcils. Emma, tu te mets de la sauce partout ! Prends une serviette ! - Oui maman, marmonna l’étudiante en langues, leur tirant un nouveau sourire amusé. - Bon, moi j’ai des choses à vous apprendre ! Les jeunes femmes se tournèrent vers Ruby, qui les regardaient avec un sourire triomphant. Etant certaine d’avoir capté l’attention générale, elle déplia ses longues jambes qui faisaient soupirer Marie et Belle de jalousie, et se mit à parler. - Vous savez que notre cher David est fiancé, bien sûr. Mais j’ai appris par une source sûre que non seulement il n’a pas l’air de passer beaucoup de temps avec sa promise, et surtout, il semblerait que Mlle Kathryn soit plus intéressée par son professeur de gymnastique ultra mignon, je l’avoue, que par notre joueur de foot préféré… Belle jeta un coup d’œil à Marie, qui avait légèrement rosi. Leur colocataire blonde sauta sur l’occasion pour renchérir. - Ca veut dire que t’as le champ libre pour le draguer ! Allez, demain tu débarques sur le stade avec ton plus beau décolleté ! - Emma ! La jeune femme était rouge de gêne, et Belle eut de la compassion pour elle. Une fois qu’Emma et Ruby était lancée il était quasi impossible de les arrêter. - Je pourrais te prêter ma robe rouge, si tu veux, et mes talons à sequins ! - Ruby, tu ne vas pas t’y mettre non plus ! Belle décida qu’une opération de secours serait la bienvenue. - Au fait, je peux savoir comment le livre que vous m’avez offert pour mon anniversaire s’est retrouvé dans mon sac alors que je l’avais soigneusement rangé tout au fond de mon étagère ? Emma se tourna vers elle, visiblement amusée, tandis que Marie lui adressait un sourire de remerciement. - On a pensé que ça te serait utile. Pourquoi tu as appris une tactique infaillible ? - Oui, comment se ridiculiser devant son prof en faisant tomber son sac ! Ruby– la traîtresse- éclata de rire, rejetant sa tête en arrière. - Dis moi que c’était Gold, je t’en prie ! Au moins, si c’était lui, il a peut-être compris que tu voulais te le faire !- Hey ! Je ne veux pas me le faire ! S’écria-t-elle d’une voix scandalisée. - Mais oui, et ma vocation c’est de devenir nonne, répondit la jeune blonde, comme si c’était la chose la plus absurde du monde. Allez, avoue que t’as carrément envie qu’il te montre son autre canne. - EMMA ! *o*o*o* Après que leur conversation ait dégénéré jusqu’à une bataille de coussin épique qui avait failli assommer Belle, la jeune brune avait souhaité la bonne nuit à ses colocataires, montant dans sa chambre en étouffant un rire à la vue du pauvre ficus dépouillé dans le couloir. Elle alluma son ordinateur pour consulter ses mails, effaçant en soupirant la cinquantaine de courriels publicitaires qui avaient envahie sa boîte mail en l’espace de 48h. Un mail de son meilleur ami lui arracha un sourire, et elle s’empressa de le lire. Hey, hey Bellounette ! Comment tu vas ma jolie? Toujours en train de fantasmer sur Mr-le-prof-oh-tellement-charmant? Ksos . Je devrais m'en inspirer pour faire un film ô combien peu original sur une passion inavouée d'une élève pour son cher professeur, genre un truc en technicolor. Faudrait rajouter quelques éléments stranges, genre un type grassouillet avec tellement de bourrelets qu'il ressemble à une chenille, toujours en train de fumer et en plein délire. Et une méchante aussi, une botaniste ratée qui décapite des gens à ses heures perdues. Elle serait la femme du prof et voudrait se débarrasser de l'élève, ça pimenterait l'histoire. Ooooh, je crois que je tiens un truc, il faut que j'envoie un mail au prof d'audiovisuel, owi owi. Bref, je vais toujours aussi bien! Passe boire un thé quand tu veux. LOVEEE Jeffounet. PS: Je t'éclate ta race au croquet quand tu veux. Elle éclata de rire. Jefferson, ou Jeff, était son meilleur ami depuis des années. Ils s’étaient rencontrés au cours d’un goûter d’anniversaire ou elle s’était rendue durant ses années de primaire, et ils ne s’étaient plus lâchés après que la jeune fille lui ai laissé découper sa robe pour qu’il en fasse des rubans et des nœuds pour décorer un arbre, et qu’elle ne l’ait pas dénoncé auprès de son père. Une semaine plus tard, il lui avait offert un élevage de coccinelles. Belle n’avait pas cherché plus loin. Hey, monsieur-je-porte-des-chapeaux-du-17ème-parce-que-je-trouve-ça-stylé. Okay, depuis quand tu projettes de faire des films au point de départ aussi médiocres ? Sérieusement, tu me décevrais presque, si je ne savais pas que tu risques d’en faire une perle tellement ça partira en live, et qu’on aura l’impression d’avoir mélangé de l’ecstasy et du LSD avant de l’avoir commencé. Et il n’est pas marié. Divorcé. Ne me demande pas comment je le sais, et non, je ne suis pas une obsessionnelle compulsive de mon prof. Soit dit en passant, tu m’as pas parlé de cette fille dont tu m’as envoyé une photo, la dernière fois ? Tu sais, celle aux cheveux rouges, toute petite, avec une tête assez… Volumineuse. C’est parce qu’elle n’est plus au goût du jour ? Si c’est le cas, tant mieux. J’avais vraiment du mal à t’imaginer avec elle. Je passerais sûrement samedi. Je rapporte des cookies (et ne mens pas, je sais que tu adores mes cookies. Bisous, Belle PS : Essaye voir. La dernière fois je t’ai écrasé ! Ok, tu avais la gueule de bois, mais j’ai gagné quand même ! Elle cliqua sur envoyer, avant d’éteindre son ordinateur et de se mettre en chemise de nuit pour s’allonger sous sa couette. Elle ne mit pas longtemps à s’endormir, épuisée par sa journée, sur une dernière pensée. Je ne suis pas amoureuse de lui. Juste… carrément obsédée à l’idée qu’il m’embrasse. C’est rien de grave. Ca va passer. Après tout, ça ne faisait que trois ans que ça durait… |
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